La Main

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il y a 7 ans

La main gantée de latex avait fixée des bracelets de cuir à mes poignets pour les fixer à une poutre haut dessus de ma tête. Pour mes chevilles cela avait été pareil mais sur le plancher. La main m'avait posée une visière m'obligeant à fixer le plancher.

Dans le noir je distinguais à peine la forme, le gant se posa sur ma poitrine et caressa mes tétons à travers le tissu. Je les sentis durcir.

Elle se glissa entre les boutons écartant les pans de tissu. Elle caressa mes seins les flattant avant de prendre chaque téton qu'elle roula entre pouce et index. La forme écarta v i o l emment les pans de la chemise, mes seins étaient à sa merci.

Un projecteur place au sol m'éblouit, la main de latex présenta à mes tétons une boîte remplie d'épingles avec des tètes de couleurs. Elle piqua les chairs à la limite de l'aréole et l'enfonça de quelques millimètres la douleur était douce et déclencha une montée de plaisir, mais elle poursuivait son oeuvre poussant l'aiguille pour qu'elle transperce les chairs. Un petit cône de chair se forma, je vis l'ombre du métal qui déchirait mes chairs et poussait pour sortir, une pointe noir émergea. Elle posa ainsi deux aiguilles en croix à la base de chaque aréole. La main joua quelque instant avec les aiguilles, j'aimais cela .............

Elle disparu pour revenir avec une décor d'une boule rouge, elle pressa le bout du téton et présenta l'aiguille a l'entrée du canal mammaire, lentement elle pénétra de quelques mm avant de buter sur une zone plus dure. Je sentais mes chairs résister à ce v i o l , j'avais un peu peur de cette douleur qui m'envahissait ; elle fut brutale quand les chairs cédèrent, la tige métallique descendait lentement et bientôt la boule coiffa le téton.

Une fois mes deux seins décorés la main les pelota. Plaisir et douleur m'envahissaient et montait en moi Une deuxième main jumelle avait glissée sur mon ventre, elle tâta le tissu de mon jean, malaxant mon entrejambe, remontant et baissant le zip

Déçue de son exploration elle rejoignit sa soeur et joua avec mes bouts. Je fermais les yeux me plongeant dans mes plaisirs maso. Un cisaillement dans mes tétons me tira de mes rêveries, la main entortillait mon teuton avec un lien très fin qu elle glissait derrière les aiguilles. Mon téton ressemblait à une boule coiffée, transpercée à sa base, serrée par la cordelette.

La douleur était tenace et s'installait dans mes tétons, mon ventre n'était qu'une envie..... la main ressembla les deux cordelettes et tira, mes seins s'allongèrent sous la traction.

Elle a dû fixer les deux extrémités à la poutre, ma poitrine était tendue vers le haut et je me haussais au maximum, pour diminuer cette tension qui m'arrachait les bouts. Ils étaient devenus v i o l acés depuis. La jumelle dans la lumière tenait une fine baguette, sa s?ur en pris l'autre extrémité, la courba et la lâcha.

Le coup frappa dessous le sein droit, sous le choc je me projetais en arrière ce qui déclencha un cisaillement du téton, la douleur s'estompait que la baguette frappait l'autre sein. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier les coups tombaient marquant ma peau de rose qui progressivement devenait v i o l ace

La régularité des coups équilibrait la douleur et un plaisir de plus en plus intense. La main était revenue sur mon entre jambe se glissant dans l'ouverture elle tâtait à travers le coton de mon slip, s'emparant de mes boules qu'elle écrasait. Elle défit mon jean, détacha une cheville, le baissa. Je me retrouvais, le pantalon roulé à mes pieds La main remonta sur ma cuisse griffa la peau fragile, elle écarta le slip et sorti deux boules velues surmonte de la verge molle. Je sentis dans les réactions des jumelles une colère sourde, elles s'emparèrent des cordelettes et tirèrent

Sous la v i o l ence du geste un cri s'échappa de mes lèvres, des larmes envahissaient mes yeux, dans ce brouillard naissant, je vis que mes tétons étaient toujours là.

La jumelle était revenue explorer mon entrejambe, le contact fut doux pour moi et déjà calmait la douleur qui m'arrachait la poitrine. Entre temps l'autre avait posé sur chaque cordelette un poids pour maintenir une certaine tension. Les deux mains s'activaient sur mes couilles, formant des sacs qu'elles lièrent. Une envie de jouissance prenait naissance mais les liens la tenaient très loin derrière la douleur

La baguette noire réapparu et sa pointe piqua la zone sensible entre les deux sacs, je reculais mon ventre pour échapper a cette nouvelle t o r t u r e , la pointe poursuivait sa progression sur mon périnée, remontait sur les boules qui avait pris une couleur brune, s'enfonçant dans les chairs à la base de mon zizi tout pendant.

La jumelle décalotta le gland ou perlait une goutte translucide, la tige noir posa son aiguillon sur le gland spongieux, et poussa. A la vue de la cuvette qui se formait, je pris peur

Les jumelles allaient me transpercer le gland, je voulus y échapper. Mes seins me rappelèrent à l'ordre, un cri m'échappa. La jumelle gauche tirait sur mon gland en le pressant à la base entre deux doigts

Quelque chose montait dans mon ventre, gonflant mes couilles d'un désir sans limite, mon méat s'ouvrait comme une bouche qui cherche son souffle La jumelle droite revint avec une longue métallique, du bout elle étala les perles luisantes que la bouche rejetait. D'un coup elle s'enfonça dans la bouche ouverte comme la cuillère pour l'affamer. Je la sentais descendre dans le canal passer un premier étranglement.

La jumelle la remuait lentement, la remontait et la repoussait. La jumelle droite massait doucement la colonne aidant a cette pénétration. Quinze centimètres avaient disparue, et je sentais gonfler un ouragan au plus profond de moi. La tige ne progressait plus, la jumelle l'agitait cherchant la bonne direction

Elle s'enfonça de plusieurs centimètres, je me rejetais en arrière projetant mon ventre vers cette progression, mes seins me brûlaient les jumelles avaient disparu, je voyais la tige remonte lentement, j'ouvris la bouche aspirant l'air, tirant plus sur les cordelettes

Un éclair m'éblouit, une vague envahit mes couilles déferlant dans le canal propulsant la tige hors de sa gaine, des jets laiteux suivirent................. Lorsque je me réveillais, j'étais dans mon lit quelque gouttes humides roulaient sur mes cuisses, une douleur sourde labourait mes tétons.

Letoga

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